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Mendrisse

De la mélancolie naissent des œuvres dont la profondeur invite au silence de l’introspection. La quête spirituelle n’est pas une échappatoire : quand l’artiste recherche la vie, l’artiste la célèbre, mettant en scène les états de l’âme.

Enfant, Louis était le fils d’un artiste célèbre, Jean Mosnier. Il est aujourd’hui Mendrisse, « un pseudonyme qui vient de loin » aime à dire le peintre, de manière énigmatique. Né en 1955, à Clermont-Ferrand, il apprend le métier auprès de son père. Dès 1977, il présente ses premières œuvres dans son atelier, à Montmartre.

A la recherche constante et sincère du passé et du sens, l’œuvre de Mendrisse est une célébration de la vie. Et que la tristesse est belle quand elle habite l’artiste !
Si les toiles de Mendrisse sont silencieuses, c’est pour apprécier d’avantage les méditations de ses figures. Au regard tourné vers le ciel ou vers l’intérieur, elles apparaissent comme des icônes, méditant sur des sentiments ô combien humains. Une grande féminité, alliant douceur et mélancolie, se dégage, rappelant les célèbres modèles de Modigliani. La technique de Mendrisse, classique, au glacis, fait référence à cette histoire de l’art religieuse. Elle fait ainsi écho à sa quête artistique : « La peinture m’élève » dit le peintre, « elle permet de s’extraire soi-même et de rejoindre une réalité supérieure, de se relier à l’invisible, à quelque chose qui nous dépasse ».

Un artiste dit tout dans ses œuvres, il suffit de prendre le temps de les lire, de les écouter, de les contempler pour en ressentir l’intense subtilité. Mendrisse sait aussi exprimer l’éphémère par une technique cette fois différente, apparemment plus moderne, moins achevée, plus esquissée. Les plans coupés rappellent les vicissitudes de l’existence. Inconstant est le genre humain, et Mendrisse le raconte par des toiles sur la séduction, la dispute, le doute, la timidité… mais aussi sur la fête, la danse (le tango évidemment !), sur la fraternité, ou sur la famille…
La vie nécessite et la profondeur, et la lumière. Mendrisse le dévoile par un style naturel et pourtant si subtil. Et si choisir est renoncer, alors, comme Mendrisse ne choisissons pas et rendons hommage à une étoile : « Ode à la vie - ode à la poésie ».
A.F.



Trop de filles
55 x 46 cm

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Chemin du haut, chemin du bas
46 x 55 cm

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La leçon d'écriture
80 x 80 cm

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Sacrée Milongua
100 x 100 cm

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Douceur matinale
81 x 100 cm

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Dialogue en noir et blanc
60 x 73 cm

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